En conclusion, suite à l’analyse des besoins et des préoccupations des communautés locales sous l’optique du genre, l’étude démontre la nécessité de concevoir des initiatives de prévention qui tiennent compte des réalités propres à chaque contexte spécifique, et qui soient adaptées aux expériences vécues tant par les femmes que par les hommes. Si l’idéologie peut sans aucun doute être un facteur d’attraction, l’instabilité économique, la pauvreté et le manque d’accès aux services et aux ressources sont apparus comme des facteurs déterminants de la radicalisation dans les zones étudiées.
https://unicri.it/sites/default/files/2023-11/Voix%20de%20R%C3%A9silience%20FR.pdf